Synopsis

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Il y a un siècle, les grands-parents du réalisateur Peter Entell avaient dû fuir l’Ukraine, victimes de la guerre et des massacres. Cent ans plus tard, Entell est confronté aux mêmes nationalismes destructeurs. On continue de tuer au nom de la mère patrie, du drapeau, de la culture, de la religion…

Le souvenir des atrocités vécues par les juifs, les Tatars musulmans de Crimée, les orthodoxes, est transmis de génération en génération, et avec lui le venin de la haine.

D’un poste de contrôle à l’autre, Peter Entell nous emmène du côté des loyalistes ukrainiens comme du côté des séparatistes prorusses. L’idée n’est pas de nous faire comprendre qui a tort ou raison, mais de nous faire prendre conscience que c’est l’humanité tout entière qui est vaincue. Au milieu de cet océan d’absurdité, Comme la rosée au soleil témoigne du fait que ces hommes et ces femmes reconnaissent leurs similitudes au-delà de leurs différences.